Le bien être des collaborateurs sur leurs lieux de travail est aujourd’hui un enjeu RSE important, la qualité de l’air intérieur y est un facteur à prendre en compte.
La RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) correspond à la prise en compte des enjeux de développement durable sous tous ses aspects dans les entreprises. Intégrer une stratégie RSE dans son activité est une démarche volontaire permettant l’équilibre entre les enjeux économiques, sociaux, environnementaux et sociétaux et la prise en considération des interactions entre les parties prenantes.
Au-delà de l’aspect économies d’énergie, mobilité durable ou encore de recrutement responsable, il y a un aspect touchant directement la santé et la productivité des collaborateurs : la qualité de l’air respirée sur son lieu de travail.
Les sources de pollution au travail peuvent être multiples, nous pouvons citer le bâtiment en lui-même, les matériaux et ameublements utilisés et aussi les activités humaines s’y déroulant.
Nous savons aujourd’hui qu’agir sur les conditions de travail en améliorant la qualité de l’air intérieur, c’est s’assurer d’apporter un meilleur confort et une meilleure concentration des occupants. C’est aussi d’accroître la productivité et de baisser l’absentéisme.
Vous l’aurez compris, la qualité de l’air intérieur fait partie intégrante de la RSE, l’objectif n’étant pas de sanctionner lorsque l’air est possiblement pollué, c’est surtout d’agir favorablement dans un engagement d’amélioration des conditions et du bien-être au travail.